Le Complice du destin
Paris, 1830.
Plusieurs crimes à la flèche empoisonnée endeuillent la Bibliothèque du Roi. Des lettres de Catherine de Médicis disparaissent. Une correspondance secrète avec Nostradamus semble être au cœur de cette énigme, dont une mystérieuse XIIIe centurie. Casse-Pierre, jeune tailleur de pierre et compagnon du Tour de France, s’empare de l’affaire et compte bien la résoudre. Suivra-t-il les conseils de Charlotte, cartomancienne à l’étrange regard mauve ou succombera-t-il au chantage de Casimir Loupin, surnommé le Tortionnaire, successeur de Vidocq à la direction de la sûreté.
A l’image d’Alexandre Dumas, de Victor Hugo ou d’Eugène Sue, Jacques-René Martin nous plonge dans les ruelles et les tavernes sombres du Paris d’avant Haussmann. Un Paris hanté par la misère et la violence, ou l’on assassine pour presque rien. Un Paris où se côtoient nobles, brigands et bagnards en cavale. L’auteur y installe avec grand art les rouages de son histoire et nous donne à saisir le relief d’une capitale haute en couleur, en personnages, et au langage bigarré. La XIIIe centurie est la première époque des aventures de Casse-Pierre, Compagnon tailleur de pierre au XIXe siècle. Lorsqu’en 1830 Casse-Pierre, dit le Complice du Destin, arrive à Paris, il se retrouve plongé dans la violence d’une ville en plein bouleversement […] tes et les rebondissements… est à lire comme un chapitre inédit des Mystères de Paris d’Eugène Sue. Sébastien Lapaque (Le Figaro magazine) »
Le Complice du destin
..En comparaison des inepties que nous sommes amenés à XXXXX dans l’exploitation de l’image du compagnonnage dans les ouvrages de fiction, il était juste d’attirer votre attention sur ce contre-exemple.